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La Neuropsychologie Et Les Commotions Cà rà brales Dans Le Sport

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La DreSchneider a mentionné que les recherches menées par le programme intégré de recherche sur les commotions cérébrales visent à étudier tout le spectre des blessures et à poser des questions de recherche critiques liées à la prévention, au diagnostic, Cheapest home Construction au pronostic, au mécanisme des blessures et à la réadaptation. Elle a parlé d’un programme national de recherche récent, financé par la Ligue nationale de football, auquel ont participé 25 chercheurs de 10 universités canadiennes, qui ont collaboré avec des organismes sportifs, des éducateurs et des équipes cliniques multidisciplinaires. Ce programme, appelé « Surveillance in High School to Reduce Concussions and their Consequences », ou SHRed, vise à surveiller pendant trois ans élèves qui participent à des sports à grand risque de commotions cérébrales dans 60 écoles secondaires situées dans cinq provinces canadiennes. Cette recherche vise à recueillir des renseignements sur tout le spectre des commotions cérébrales, de la prévention à la gestion. On a mentionné au Sous-comité que les personnes qui ont subi une commotion cérébrale et dont les symptômes ne sont pas disparus à court terme pourraient profiter d’un aiguillage vers une équipe dirigée par un médecin et regroupant divers professionnels de la santé.
On a indiqué au Sous-comité que de 80 à 90 % des patients adultes ayant subi des commotions cérébrales et 70 % enfants ayant subi des commotions cérébrales qui se rétablissent à court terme peuvent être pris en charge par un médecin spécialiste de la médecine sportive, par un médecin de famille ou par un pédiatre. La CCC a produit des documents et des ressources avant la publication des lignes directrices de Parachute sur les commotions cérébrales en 2017. Les commotions cérébrales posent un défi particulier en ce qui concerne le traitement des blessures liées aux sports. Les fractures, les ligaments déchirés et les plaies ouvertes sont faciles à reconnaître, les traitements sont bien établis et les processus de guérison sont bien définis.
Lorsqu’aucune commotion n’a été diagnostiquée, l’athlète peut reprendre toutes ses activités sans restriction. Lorsqu’une commotion a été diagnostiquée, l’athlète doit suivre les étapes de gestion des commotions cérébrales. Une période de repos de 24 à 48 heures est recommandée après une blessure pour permettre aux symptômes de disparaître avant que la personne passe aux stratégies de retour à l’école et de retour au sport. Lorsqu’on soupçonne qu’un athlète a été victime d’une commotion cérébrale, il faut le retirer du jeu et le conduire dans un endroit calme. Lorsqu’un professionnel de la santé agréé est présent, il faut procéder à un examen médical à l’aide de l’Outil d’identification des commotions cérébrales 5 si l’athlète est âgé de 13 ans et plus ou à l’aide de l’outil SCAT5 pour enfants si l’athlète est âgé de 12 ans et moins.
Voir quelques étoiles après un coup à la tête faisait partie de la routine des joueurs de football amateurs et professionnels. Ce n’était guère un sujet de préoccupation, ni pour les entraîneurs, ni pour les parents de jeunes athlètes. « Au début des années 2000, je multipliais les demandes de recherche auprès des comités d’éthique hospitaliers et, chaque fois, on me répondait que les commotions liées au sport ne constituaient pas un problème selon eux. Finalement, en 2005, son laboratoire a été l’un des premiers à recevoir du financement des Instituts de recherche en santé du Canada pour mieux étudier ce mal qui touche environ la moitié des athlètes professionnels ou amateurs ainsi que les sportifs occasionnels. Cette dernière exige que les organisations sportives mettent en place des ressources de sensibilisation et veillent à ce que les athlètes, les parents, www.Physiobalance.Ca les entraîneurs et les autres officiels les connaissent. En outre, elle exige la mise en œuvre d’un code de conduite sur les commotions cérébrales pour les organisations s’occupant d’un sport de compétition amateur.
Il a rappelé que la question des commotions cérébrales a beaucoup retenu l’attention au cours des dernières années et que cela s’est traduit par une plus grande sensibilisation. Il a tout particulièrement souligné que la sensibilisation aux commotions cérébrales a connu une hausse importante chez les jeunes et que les jeunes athlètes savent très bien à quel point il est important de reconnaître les signes et symptômes des commotions cérébrales. Les intervenants devraient aussi prendre connaissance des mesures à adopter lorsqu’on soupçonne qu’un athlète a subi une commotion cérébrale, de même que des attentes en matière de rétablissement (notamment pour le retour à l’école et le retour au jeu). Les intervenants doivent être au courant de toutes les politiques et clinique de Physiothérapie tous les protocoles sur les commotions cérébrales qui sont propres à leur sport.